Banajii s’appuie sur les recherches récentes qui indiquent que pour avoir de l’impact sur l’inclusion de la diversité, il faut sortir des approches culpabilisantes et donner des outils concrets pour agir.
Une méthode scientifique pour dépassionner le débat sur la question complexe, mais nécessaire, de la diversité et de l’inclusion en entreprise
Notre approche ne se focalise pas sur une catégorie particulière (ex handicap, orientation sexuelle etc.) mais sur les mécanismes cognitifs et émotionnels communs aux phénomènes d’exclusion. Il y a tant de manières de se sentir différent·e
Une approche participative et outillée pour construire des collectifs de travail soudés où chacun·e peut s’épanouir en étant soi-même.
Les environnements de travail justes, équitables et respectueux des besoins de chacun·e bénéficient non seulement aux personnes issues de groupes sous-représentés, mais aussi à l’ensemble des salarié·e·s et à l’organisation.
Un environnement de travail inclusif répond à deux besoins fondamentaux de l’être humain :
L’inclusion, c’est donc permettre à chacun·e d’être soi au travail tout en permettant d’appartenir au collectif, à l’équipe, à l’entreprise.
Mais tou·tes les collaborateur·rices ne sont pas égaux face à l’inclusion, notamment au regard des biais de groupe à l’œuvre dans le quotidien de travail :
Les collaborateur·rices issu·e·s de groupes stigmatisés, les femmes dans des contextes d’hommes, les personnes avec un handicap invisible (80% des handicap), les personnes issues de classes populaires dans des entreprises composées de classes supérieures, les personnes issues de filières métiers différentes, un baby-boomer dans une startup, … il y a plein de manières de se sentir différent·e, “hors de la norme” en l’entreprise.
Or, si certain·e·s identités sont clairement identifiables (ex personnes noires, personnes en fauteuil), d’autres le sont moins et peuvent être masquées pour se fondre dans le moule de l’entreprise.
Ainsi, créer des environnements de travail inclusifs, c’est s’assurer que tous ces collaborateur·rices trouvent leur place dans l’entreprise, qu’il·elle·s ne subissent pas de biais délétères, c’est détecter les micro-exclusions qui se manifestent dans le quotidien de travail, c’est, enfin, développer des collectifs qui, au delà de tolérer les différences, les valorisent.
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