Les rythmes de travail

Adaptez

le rythme

de travail

au rythme du cerveau

Notre cerveau et notre corps fournissent une énergie considérable lorsque nous travaillons.

Mais cette ressource n’est pas illimitée et notre efficacité se dégrade au fur et à mesure que la fatigue mentale s’installe. A long terme, c’est même notre santé qui est en jeu.

Face à cela, une seule solution : adapter le rythme de travail au rythme du cerveau.

“ Le point de vue des sciences cognitives ”

Notre corps dépense de l’énergie au travail, et il lui faut des moments de récupération pour se régénérer.

Traiter le même type de tâches pendant plusieurs heures déclenche une fatigue mentale qui diminue l’efficacité, baisse la vigilance et altère la prise de décision en favorisant l’impulsivité.

Notre corps vit selon les rythmes circadiens, qui font évoluer notre vigilance pendant la journée et sont, par exemple, responsables de notre somnolence en début d’après-midi.

La fatigue accumulée pendant la journée de travail doit être compensée par des périodes de repos, sans lesquelles un besoin de récupération s’accumule et peut nuire à notre santé.

Impact sur les individus et l’entreprise

Aujourd’hui, force est de constater que la promesse de flexibilité, permettant de travailler quand et où on veut, se traduit surtout par le fait de travailler partout et tout le temps.

L’état des individus se dégrade, avec des conséquences personnelles et professionnelles. La fatigue accumulée pendant la journée se maintient le soir, réduisant l’énergie disponible pour des activités extra-professionnelles ou du temps avec des proches. Cela entraine une baisse de la qualité et de la quantité de sommeil, qui réduit encore davantage l’énergie disponible les jours suivants.

Pour un cadre de travail plus adapté au cerveau :

Développez les compétences clefs de vos collaborateur·rice·s :

faire des pauses (vraiment) efficaces, se déconnecter, pratiquer la (micro) sieste, planifier, déléguer, s’écouter

Traiter les éléments de l’environnement de travail qui ont le plus d’impact :

Les modes de travail (télétravail, semaine de 4 jours), les normes sociales, le droit à la déconnexion, la pression hiérarchique, la charge de travail.

Cas clients

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