Les collectifs de travail

“ Faire équipe “.

Malgré le digital,

l’hybride et

l’accélération des rythmes

L’ensemble des liens sociaux qui permettent de s’entraider, de faire ensemble ou de coopérer s’appelle le capital social.

Pendant longtemps, faire groupe était une condition de survie.

Aujourd’hui, bien que notre vie sociale se soit complexifiée, parfois même dématérialisée, ce capital reste essentiel à notre épanouissement personnel et professionnel.

C’est même un pilier du sentiment d’appartenance à l’équipe et à l’entreprise et une condition nécessaire de l’intelligence collective. 

" Le point de vue des sciences cognitives "

Accélération des rythmes et mise à distance des relations : les besoins sociaux du cerveau ne sont pas alignés avec l’évolution du travail

Le non-verbal, qui est primordial pour une communication interpersonnelle de qualité, est dégradé par les outils digitaux, visio comprise.

Nos émotions, pourtant centrales dans nos prises de décision et interactions sociales, sont taboues dans le monde professionnel.

L’intelligence collective ne peut pleinement émerger que lorsqu’il existe, au sein d’un groupe, un sentiment de sécurité psychologique suffisant.

Impact sur les individus et l’entreprise

Le capital social joue un rôle majeur dans le sentiment d’appartenance à l’entreprise et à l’équipe. C’est également un pilier de l’intelligence collective en ce qu’il permet de développer un climat de sécurité psychologique.

Sans une remise en question de nos modes d’interaction et de la place laissée au lien social dans les entreprises, l’émulation et le travail collectif risquent de progressivement disparaître, laissant place à des ensembles d’individus peu uni·e·s et engagé·e·s, se limitant à faire circuler des informations des un·e·s vers les autres.

Pour un cadre de travail plus adapté au cerveau :

Développez les compétences clefs de vos collaborateur·rice·s :

Gérer ses émotions, porter attention aux autres, savoir communiquer, développer le capital social ou l’intelligence collective, comprendre les biais de groupe, développer des équipes inclusives…

Traiter les éléments de l’environnement de travail qui ont le plus d’impact :

Culture d’inclusion, référentiel managérial, recrutement, développement des talents, espaces de travail, prise en compte des besoins sociaux dans l’évolution des rythmes de travail,… 

Cas clients

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