Notre cerveau et notre corps fournissent une énergie considérable lorsque nous travaillons.
Mais cette ressource n’est pas illimitée et notre efficacité se dégrade au fur et à mesure que la fatigue mentale s’installe. A long terme, c’est même notre santé qui est en jeu.
Face à cela, une seule solution : adapter le rythme de travail au rythme du cerveau.
Aujourd’hui, force est de constater que la promesse de flexibilité, permettant de travailler quand et où on veut, se traduit surtout par le fait de travailler partout et tout le temps.
L’état des individus se dégrade, avec des conséquences personnelles et professionnelles. La fatigue accumulée pendant la journée se maintient le soir, réduisant l’énergie disponible pour des activités extra-professionnelles ou du temps avec des proches. Cela entraine une baisse de la qualité et de la quantité de sommeil, qui réduit encore davantage l’énergie disponible les jours suivants.
faire des pauses (vraiment) efficaces, se déconnecter, pratiquer la (micro) sieste, planifier, déléguer, s’écouter
Les modes de travail (télétravail, semaine de 4 jours), les normes sociales, le droit à la déconnexion, la pression hiérarchique, la charge de travail.
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