Améliorer la QVCT et prévenir les risques psychosociaux

Nous aidons la fonction RH et les managers à préserver les ressources cognitives et sociales des salarié·es pour améliorer la QVT et limiter les RPS.

Quelques références

Permettre aux managers de la force de vente de mieux comprendre les ressorts de la motivation au travail

Outiller les managers et définir un plan d’action à l’échelle de la métropole pour renforcer l’engagement quotidien des agents.

Créer et diffuser des podcasts pour sensibiliser les collaborateurs de ses différentes maisons au sujet de la santé mentale et de la lutte contre l’hyperconnexion.

Accompagner les équipes de formation internationales pour mieux transmettre et designer des formats plus impactants.

Mettre la QVCT (Qualité de vie et des conditions de travail) au service des équipes et de leur performance.

Expérimenter d’autres rythmes de travail avec la semaine de 4 jours.

Réguler la charge mentale et renforcer l’intelligence collective dans un métier dans lequel l’information est omniprésente.

Accompagner la gestion de la charge mentale par les individus et les équipes.

Diffuser à l’ensemble des managers des bonnes pratiques pour la mise en place de modes de travail durables.

Améliorer la qualité de l’apprentissage des collaborateur·rices d’Orange.

Incarner par une exposition, au sein du nouveau campus de formation de l’entreprise, les enjeux relatifs à l’apprentissage.

Soutenir le développement d’entreprises plus inclusives.

Former les manager·e·s à mieux organiser leur travail et gérer leurs équipes.

Faciliter la collaboration au sein de l’instance de pilotage du service numérique.

Développer les compétences transverses d’employé·es administratifs dans 3 domaines : “Savoir apprendre”, “s’organiser à l’ère du numérique” et “animer et transmettre”.

Faire évoluer le rapport à l’information et les modes de communication de l’équipe RH tout en permettant à ses membres de prendre soin d’eux et des autres.

Comprendre l’impact des rythmes de travail sur le bien-être des salarié·e·s en expérimentant la semaine de 4 jours

Renforcer la cohésion au sein d’une équipe RH et travailler sur sa culture de l’urgence.

Sensibiliser les travailleur·se·s Luxembourgeoi·e·s à la question de l’infobésité.

Former les collaborateur·rice·s aux risques du télétravail et aux bonnes pratiques à expérimenter.

Aider les cadres et les agents à adopter de nouvelles pratiques de travail pour être plus efficaces collectivement.

Prendre en compte les attentes et accompagner les salariés dans un contexte de transformation organisationnelle touchant l’ensemble de l’entreprise.

Nos services

Diagnostic RPS et construction de plans d'actions

Actions de formation, de prévention et d'accompagnement sur les questions de charge mentale et émotionnelle et de gestion du stress

Accompagnement spécifique sur l’évolution des rythmes de travail (Passage à la semaine en 4 jours par exemple)

Accompagnement d’équipes avec notre outil Engram

Le point de vue du cerveau

Les risques psychosociaux sont définis comme les risques pour la santé mentale, physique et sociale, engendrés par les conditions d’emploi et les facteurs organisationnels et relationnels susceptibles d’interagir avec le fonctionnement mental.

Certaines situations de travail génèrent un stress naturel sur l'organisme, c'est à dire qu'elles créent des réponses biologiques favorisant l'attention : augmentation du rythme cardiaque, libération de cortisol etc...

Parmi ces "stresseurs" on retrouve des éléments comme la surcharge mentale, la pression temporelle, les conflits, la surcharge émotionnelle, les rythmes décalés, l'incertitude ou encore le manque de contrôle.

Ces stresseurs ne sont pas nocifs tant qu'ils sont limités dans le temps. En revanche, leur présence prolongée et parfois cumulée peut entrainer une altération progressive des capacités cognitives et physiques.

Impact sur les individus et l’entreprise

La présence de RPS engendre des risques à trois niveaux : une dégradation possible de la santé mentale et physique des collaborateur·ices, un désengagement face à des conditions de travail inadaptées, et une baisse de l’efficacité individuelle et collective.

Face à ces risques, identifier et prévenir les risques psycho-sociaux doit être l’affaire de tou·tes. Il est fondamental d’outilller les directions des ressources humaines, mais également les managers et les collaborateur·ices qui ont un rôle à jouer dans la mise en place de modes de travail adaptés aux fonctionnement du cerveau.

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